
Jean-Paul Olivari aquarelliste
Arles, Alpilles, Camargue

Mazet 30 x 22
L'amphithéâtre (Arles) 50 x 70

La grange du mas d'Escanin 70 x 50

Les volets bleus 67 x 52

Le mas à la glycine 70 x 52
Trois aquarelles de vieilles maisons, au Paradou : la grange d'un vaste domaine agricole, un mas du XIXème siècle avec une glycine extraordinaire et les vieux volets d'une maison de village.
Les Alpilles, c'est l'anti-paysage. Il faut renoncer à toute idée de composition. Ici, tout parait chaos.

Les Baux de Provence 70 x 38

Pourtant, il suffit d'arrêter son regard pour enfin percevoir l'évidence de cette ligne de crêtes, ou pour se sentir écrasé par la majesté de la citadelle des Baux.
Alpilles 50 x 70

Les Baux de Provence 88 x 40

La petite porte (Maussane ) 92 x 48
Le grand chantier : la tour Frank Gehry à Arles 78 x 52


Oliviers (Les Baux de Provence) 78 x 52

Arles, rue du refuge 78 x 52
En Provence, le soleil d'hiver découpe au scalpel tous les contours, donne de la subtilité à tous les coloris. Il fait vibrer l'argent des oliviers et transforme la plus humble façade en chef-d'oeuvre d'élégance.
Pour un peintre, la Camargue est un lieu magique. Sa luminosité est si particulière, sa flore si simple et pourtant si originale.

Le Vaccarès 92 cm x 44 cm

J'adore ses plages, larges, vides , avec juste quelques dunes à oyats, reliées par un fin pointillé de ganivelles.
Les ganivelles 86 cm x 52 cm

Arles, été 69 cm x 50 cm
Arles, place de la Redoute 40 cm x 55 cm
Retour à Arles. Le soleil est au zénith, c'est l'été. Les vieilles portes se chauffent au soleil. La tendre pierre calcaire, épuisée par le mistral d'hiver, se repose enfin.
Porte à Arles 56 cm x 76 cm


Un toit au soleil 76 cm x 56 cm


Le mas au volet bleu 92 cm x 45 cm
Oliviers au printemps 72 cm x 52 cm


Les grands pins 76 cm x 56 cm